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poursuite du bonheur (La)
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Kennedy, Douglas 
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Beaucoup de mal à le lâcher tellement c'est prenant, on s'identifie facilement aux personnages. J'ai beaucoup appris d'une période honteuse de l'Amérique, une chasse aux sorcières. À ce propos, ce livre nous rend lâches : aurions-nous préféré perdre la vie au nom de nos valeurs plutôt que de choisir la lâcheté ? Être quelqu'un de bien sous tous rapports, c'est bien relatif, qu'est-ce que le bien ? Question fondamentale du roman face aux conventions. On s'interroge : faut-il tout pardonner à celui qu'on aime ? Tant de questions dont les réponses prennent du temps, cela prend du temps de pardonner, et là, le destin est implacable, car la vie est parfois courte comme celle de Jake Malone, on le sait dès le départ, ses jours sont comptés. Que de souffrances! On paye ses erreurs durement. Un amour inconditionnel entre Sara et Jake, et pourtant, il a commis l'irréparable. Que de jalousie face à la relation forte entre un frère et une soeur seuls au monde. Ce livre nous enseigne la chance d'avoir des proches aimés qui nous aiment et à aimer. Cela m'a remise en question dans ma vie actuelle. Suis-je aimée par mon concubin ? Me satisfait-il? Faut-il se contenter d'une relation minable par lâcheté d'avoir peur du changement? Saurons-nous saisir au vol un coup de foudre tel que celui de Jake et Sara? Aurions-nous agi différemment ? Question très difficile ; il vous appartient de vous plonger dans ce roman pour savoir ce qui vous attend.
À DECOUVRIR!
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Valérie Smith
(3 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Romance
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9/1/2007
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poursuite du bonheur (La)
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Kennedy, Douglas
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Kate est au cimetière pour l'enterrement de sa mère, lorsqu'elle aperçoit pour la première fois de sa vie cette vieille dame qui ne la quitte pas des yeux. Le soir même, elle commence à recevoir des appels et des lettres de cette dame, Sara, qui se dit une amie de la famille. Mais Kate, dans son chagrin, repousse Sara. C'est lorsque cette dernière enverra un album photo à Kate qu'elle voudra absolument savoir qui est celle-ci, d'autant plus qu'elle affirme que le père de Kate a été son plus grand amour...
Nous entrons donc de plain-pied dans l'histoire de Sara et de Jack (le père de Kate décédé depuis déjà 44 ans). Nous y découvrons une femme qui se démarquait dans les années 40 par son féminisme et son désir d'indépendance.
Ce roman est un grand livre, très bon, très touchant parfois. Les thèmes de la trahison, de l'amour, de l'amitié y sont abordés de belle manière. J'ai vraiment beaucoup aimé ce livre dans lequel nous nous laissons engloutir au point d'avoir l'impression d'être amis avec les protagonistes.
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Dytal
(516 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Romance
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Édition : Belfond, 577 p.
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| | | Date :
8/1/2004
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poursuite du bonheur (La)
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Kennedy, Douglas
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Une histoire d'amour comme je n'en ai pas dévorée depuis longtemps.
Kate et Jack se rencontrent en 1945. Coup de foudre partagé.
Et c'est parti pour un demi-siècle de galère.
Kate a un frère, Jack a une femme.
Pas joli-joli le rôle des hommes dans tout cela.
Mais ces dames, quel tempérament de feu ;-))
C'est du roman, nous sommes bien d'accord. Mais du tout bon.
Quand un roman arrive à me rappeler des épisodes de ma vie que ma réserve innée m'empêche de raconter ici, je crie tout haut que l'ami Douglas a fait du bon boulot.
Pour ceux qui ne savent pas ce que représentait le
maccarthysme dans les années 1950, c'est le moment, c'est l'occasion.
Et comme l'histoire est un éternel recommencement, la chasse aux sorcières initiée par un certain mangeur de bretzels n'est pas sans rappeler la période de l'après-guerre aux USA.
Autre réflexion : quand le bonheur passe à votre portée, saisissez-le et ne le lâchez sous aucun prétexte.
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Guy Capelle
(559 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Romance
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Édition : Belfond, 578 p.
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| | | Date :
2/1/2003
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poursuite du bonheur (La)
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Kennedy, Douglas
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« La première fois que je l'ai vue, c'était devant le cercueil de ma mère. Dans les soixante-dix ans, grande, anguleuse, de beaux cheveux gris sévèrement retenus en chignon sur la nuque. » Ce sont les mots de Kate Malone qui ouvrent le roman. Qui est cette femme aux cheveux gris? Pourquoi insiste t-elle pour la rencontrer? Malgré ses réticences, Kate va lire le manuscrit que lui remet Sara, l'inconnue du cimetière. Le lecteur va lire le manuscrit en même temps que Kate et découvrir le destin romantique et tragique de Sara! Le manuscrit nous ramène 40 ans plus tôt : Sara fait la connaissance de Jack Malone, le père de Kate. Une nuit d'amour extraordinaire laisse penser à Sara que c'est l'homme de sa vie, mais Jack est militaire et doit partir pour l'Europe. Ils se promettent de s'écrire et de se revoir mais le destin a abattu d'autres cartes. Cependant l'histoire ne s'arrête pas là! Sara est une battante, une femme énergique qui se heurte constamment aux préjugés, aux médisances. Le lecteur est emmené dans le tourbillon de sa vie : on détestera sa belle-mère, on s'apitoiera sur le sort de son frère, on maudira ceux qui organisent « la chasse aux sorcières » et détruisent sans scrupule la vie de ceux qu'ils soupçonnent, et que dire du puritanisme américain? Sara affronte tout cela et ressort plus forte mais aussi plus intransigeante.
Alors comment l'atteindre, ce bonheur? Peut-être en sachant pardonner!
Douglas Kennedy a créé un personnage de femme si attachant que lorsque le lecteur referme le livre de près de 600 pages, il a envie de dire : « Monsieur Douglas Kennedy, vous ne pourriez pas les faire un peu plus longs, vos livres! »
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Christelle Divry
(832 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Romance
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Édition : Belfond, 478 p.
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| | | Date :
avant 2001
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